« Najac infos » c’est quoi et c’est qui ?

C’est quoi ?
C’est un petit site d’informations sur Najac et ses alentours. La fréquence de parution des articles est très variable et sera sans doute plus importante en hiver qu’au printemps : le potager et autres travaux en extérieur laissant peu de temps à la belle saison (cf. « C’est qui »).

Petit site et fréquence variable ne signifient pas pour autant que les informations publiées ne seront pas issues d’un véritable travail journalistique rigoureux et honnête, conforme aux prescriptions de la Charte de Munich.

Le thème de prédilection sera l’écologie – en particulier ce qui concerne le capitalocène (1). Mais d’autres thèmes pourront être abordés.

C’est qui ?
Je m’appelle Jacques-O. Teyssier. Je suis le fondateur et seul rédacteur (bénévole) de Najac infos à ce jour. En tant que citoyen, je ne compte pas laisser aux seuls spécialistes le soin de s’intéresser à l’écologie, l’agriculture, l’alimentation, les finances, la gouvernance, le logement, le transports, le tourisme, l’énergie, etc.

J’ai passé les vingt premières années de ma vie dans une petite ville de Corrèze. J’y ai notamment fait des cabanes dans les bois. Mais aussi dans les granges quand les bottes étaient encore rectangulaires et qu’on les chargeait à la fourche dans une remorque.

Après un diplôme d’ingénieur, j’ai travaillé 10 ans à Paris dans l’informatique et les télécoms.
Suite à une formation de journaliste à l’École des métiers de l’information, j’ai ensuite passé 14 ans à Montpellier où j’ai travaillé comme journaliste (La Marseillaise, L’Accroche et Montpellier journal).
J’ai contribué au livre Informer n’est pas un délit (septembre 2015, Calmann Lévy).

J’habite à Najac depuis 2017 et j’ai fait le choix de passer un maximum de temps à construire et aménager notre maison, faire un potager, planter des arbres, m’occuper de ma fille, etc. plutôt qu’avoir une activité salariée afin de pouvoir tout déléguer à d’autres.
Un mode de vie sobre et quelques économies, méthodiquement préservées, me permettent de pouvoir vivre ainsi.

[Version 1 du 4 mai 2021]

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(1) « Il faudra encore un peu de temps pour que, selon le vœu d’Andreas Malm, on en finisse avec cette ineptie de l’anthropocène et qu’on nomme vraiment les choses : capitalocène. Ce qui détruit la planète, ça n’est pas l’« homme » : c’est le capitalisme. » (Frédéric Lordon, La pompe à phynance, 12 octobre 2018)